« En Vérité », s’appuie sur les sources d’informations du « PAYS GUYANE », la presse écrite et audiovisuelle. S’agissant de la presse en Guyane, le constat est criant, elle est d’une pauvreté déconcertante. Cette pauvreté se situe à deux niveaux :
I La qualité des articles : concernant l'implications réelle et historique en profondeur, en hauteur,
et en largeur sur l’avenir de la Guyane, par le souci d’informer et d’instruire en construisant en
conscience le citoyen.
II La majorité des journalistes ne sont pas des Guyanais, et lorsqu’ils le sont, le sont par « défaut ». C’est à dire, ils ne sont pas concernés par l’engagement du journalisme qui doit faire bouger les lignes pour l’émancipation de la population et l’affirmation du Guyanais dans toute sa plénitude, comme le ferait les journalistes qui exercent sur les médias nationaux. La plénitude du Guyanais, c’est d’être un Français en Amérique du Sud et au même titre que tous les français, il a droit à cette information historique sur sa région. Une information qui interpelle, affirme, confirme, instruit et construit en conscience…
Un exemple d’actualité : Lors du journal télévisé de Guyane 1ère du 09/04/12, concernant la mise en cause d’EDF sur la montée des eaux sur la région de Sinnamary, le responsable d’EDF laisse entendre que c’est grâce au barrage de Petit Saut que la ville de Sinnamary a échappé à une catastrophe. Un journaliste qui informe et construit le citoyen en conscience par son analyse, légitimement, aurait dû trouver un espace pour faire ressortir que la ville de Sinnamary existait bien avant l’édifice du barrage de Petit Saut. Qu’avant l’installation du barrage aucune catastrophe n’a été répertorié, même à l’époque où il pleuvait 6 mois par an en Guyane.
Les médias nationaux font parties des outils que « En Vérité », intègre dans la panoplie de ses sources, et autres documents d’informations…
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