L’équipe de football amateur de Quevilly, équipe évoluant dans la catégorie nationale du football français, finaliste de la Coupe de France 2012 cloue la bouche des entraîneurs du football guyanais.
La Guyane a honte de ses analyses « doudouïstes », des entraîneurs et
Capitaine d’équipe de football, qui reviennent chaque année lors des matchs de coupe de France. Ses pleureuses qui depuis des dizaines d’années construisent et forment des joueurs fades, avec une idéologie fataliste et de faible face aux performances négative.
En France le football se classe de la manière suivante. Au sommet se trouve : La Ligue 1
La Ligue 2
Le National (Quevilly)
La CFA
La CFA 2
La DH (plus haut niveau du football Guyanais)
La PH, etc…
Comment ceux que réalisent les amateurs de national de l’US Quevlly, damer le pion aux équipes de ligue 2 et de ligue 1, deux catégories du football professionnel français. S’agissant de la ligue 1, ses équipes sont composées de certains joueurs internationaux… Comment les équipes de la Guyane ne peuvent pas damer le pion aux équipes amateurs de CFA et aux équipes nationales. Le constat, n’est pas, uniquement, le résultat en lui-même. Se sont les réponses des entraîneurs et dirigeants qui sont affligeants. Quevilly est le contre exemple de ce fatalisme qui indique énormément sur la qualité de leur travail. Le : « nous sommes des amateurs » ne tient pas la route, « nos joueurs doivent se rendre tous les jours au travail » ne fait plus le poids. Chaque année des équipes de CFA, de National le prouvent. En vérité, ce qui est triste, c’est que les journalistes ne font pas de bilan, d’analyse et de synthèse pour faire bouger les lignes de ses réponses de menteurs. Le révélateur de ses mensonges, c’est le Club Colonial de Cayenne de 1978, le Geldar de Kourou de 1987. Ces équipes ont passé des tours de coupes de France, et au cours de ce nouveau millénaire le Club Sportif de Cayenne. Donc ont quoi les entraîneurs et dirigeants sont obligés de faire « l’autruche » par des réponses qui ne responsabilisent pas les joueurs guyanais. C’est cela la réalité. C’est là, sur ce point qu’il faut faire bouger les lignes.
Une fois ce travail de base fait, les tours de Coupe de France face aux équipes amateurs de CFA et de National auront un autre goût. Les éliminations se feront sans faux-fuyant, et surtout, réellement, plus difficilement. Le monde du football guyanais ne doit plus donner l’impression que les jeux sont irrémédiablement faits avant le match. Vive l’US Quevilly, vive L’Union du Football Guyanais en Coupe de France.
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